Les
koïlocytes (du grec koïlos = creux) sont pathognomoniques des infections
à papillomavirus (HPV). Ce sont des cellules superficielles ou
intermédiaires (riches en glycogène) de l'épithélium malpighien qui ont une cytologie
modifiée à savoir :
-
le
noyau (voire les noyaux), siège de la multiplication des virions
avec une taille augmentée, une chromatine de
texture homogène hyperchromatique,
-
un halo
périnucléaire bien marqué correspondant à une zone de nécrose
cytoplasmique.
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